Julia Paredes accuse Booba d’avoir « tué le business » après la polémique sur les « influvoleurs »
Depuis quelques jours, une polémique enfle autour du rappeur français Booba et de son attitude envers les « influvoleurs » sur les réseaux sociaux. Julia Paredes, une personnalité de la télé-réalité, a récemment accusé le rappeur d’avoir « tué le business » en s’en prenant aux influenceurs. Retour sur cette affaire qui fait beaucoup parler.
Les origines de la polémique
Tout a commencé lorsque Booba a publié sur Instagram une vidéo dans laquelle il critiquait les influenceurs qui, selon lui, ne font rien de concret pour mériter leur notoriété. Il les a qualifiés de « influvoleurs », un terme qui a rapidement fait le buzz sur les réseaux sociaux.
Cette attaque frontale a provoqué de nombreuses réactions parmi les influenceurs eux-mêmes, mais aussi parmi les internautes. Certains ont soutenu Booba, estimant qu’il avait raison de dénoncer ceux qui profitent de leur popularité sans proposer de contenu de qualité. D’autres, en revanche, ont critiqué le rappeur pour son manque de respect envers cette nouvelle forme de métier.
C’est dans ce contexte que Julia Paredes est intervenu, en prenant clairement position contre Booba.
Les accusations de Julia Paredes
Julia Paredes est une ancienne candidate de télé-réalité devenue elle-même influenceuse sur les réseaux sociaux. Elle a donc directement été touchée par les propos de Booba et n’a pas hésité à lui répondre publiquement.
Dans un message posté sur Instagram, Julia Paredes a accusé Booba d’avoir « tué le business » en s’attaquant aux influenceurs. Selon elle, cette polémique risque d’avoir des conséquences négatives sur toute une industrie qui repose en grande partie sur la promotion des marques et des produits sur les réseaux sociaux.
Elle affirme également que Booba ne connaît pas réellement le fonctionnement du métier d’influenceur et qu’il ne devrait pas les juger aussi rapidement.
Les réactions de Booba
Booba, quant à lui, n’a pas tardé à répondre aux accusations de Julia Paredes. Sur son compte Instagram, il a publié une nouvelle vidéo dans laquelle il assume ses propos et maintient sa position vis-à-vis des influenceurs.
Le rappeur estime que les influenceurs ne sont pas de véritables entrepreneurs et qu’ils ne prennent pas de risques pour développer leur activité. Selon lui, ils se contentent souvent de copier ce qui se fait déjà sans apporter de réelle valeur ajoutée.
Booba affirme également que les véritables talents ne se trouvent pas sur les réseaux sociaux mais dans la rue, et qu’il faut aller les chercher là où ils se trouvent.
Des répercussions sur le business des influenceurs ?
La polémique entre Booba et les influenceurs soulève une question importante : est-ce que cette histoire aura des conséquences sur le business de ces derniers ?
Il est encore difficile de prédire l’impact réel que cela pourrait avoir. Certains internautes pourraient être tentés de boycotter les influenceurs, mais d’autres au contraire pourraient se sentir davantage intéressés par ce milieu et décider de les soutenir.
Il est également possible que cette polémique fasse réfléchir certains influenceurs à leur métier et les pousse à se remettre en question. Peut-être est-ce l’occasion pour eux de repenser leur stratégie de communication et de proposer des contenus plus originaux et de qualité.
La polémique entre Booba et les influenceurs divise. D’un côté, il y a ceux qui soutiennent le rappeur et son franc-parler, estimant qu’il a raison de dénoncer les « influvoleurs ». De l’autre côté, il y a ceux qui critiquent son manque de compréhension du métier d’influenceur et qui estiment que cette attaque est injustifiée.
Quoi qu’il en soit, cette affaire a mis en lumière les tensions qui existent entre deux univers différents : celui du rap et celui des influenceurs. Elle a également soulevé des questions importantes sur la légitimité et la valeur ajoutée de ce nouveau métier. Il reste maintenant à voir si cette polémique aura réellement des conséquences sur le business des influenceurs ou si elle sera vite oubliée.